(Ok ok c'est moi....)
Lyenlia , les cheveux noir , de grand yeux vert , la peau laiteuse ...
Parent fière d'avoir une si belle poupée de cire comme fille , seulement
Lyenlia avait aussi de drôle de jeux pour une enfant de 5ans .
Ses poupées était pour le plus souvent éventrée , leurs membres de lin coupé , les billes des yeux de coter ...
Elle fini un jours pas faire de même sur le chat domestique de la veille voisine .
Lyenlia disait toujours la même chose d'une vois froide et pourtant douce, mélodieuse , inquiétante pour son âge : "Mais je cherche l'image parfaite"
Personne ne s'amuse avec Lyenlia , personne ne rigole avec Lyenlia ...
Alors un jours , l'image qu'elle chercher viens la trouver .
"Mais lui est différent des poupées de Lyenlia , Il a deux objets a la main ,Papa et maman il sont ou déja ?
Tiens le monsieur s'amuse aux même jeux que moi ,Lyenlia viens jouer avec moi , Il est grand , il est bizare on dirait qu"il a perdu ses vétement en même temps que ca peau ."
Le réprouvé était devant l'enfant , aucune peur , crainte , ni d'ailleur aucune expréssion était lisible sur le visage de chacun, pourtant , l'enfant s'approche lentement de celui ci , son esprit fou d'adoration a la mort avait trouver son image parfaite , et une étreinte avait confirmer le réalisme de l'instant pour la petite.
L'image parfaite fut prise d'un malaise soudain , un drôle de sentiment qui hanté le moment présent ou l'enfant serrez le réprouvé dans ses petit bras et celui ci qui avait fait d'elle une orpheline .
Et aprés ? Je ne suis pas là pour avoir un poid sur mon dos ?
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Durant 10 anées Lyenlia avait grandis a Brill parmis quelque réprouvés surement aussi fou qu'elle même pour garder dans leurs ville une humaine ou pour grandir au milieu des peurs de beaucoup
Jamais eu seul mot avait été échanger depuis entre eux deux , pourtant comme un père il avait passer pour fou , comme un père il l'avait sauver de sa folie .
Une humaine au coeur d'une ville oublier, pour certain c'étais une histoire pour d'autre une menace et encore , une pauvre idiote servant d'esclave
Mais pour elle c'étais son Art , la mort sous forme parfaite , son oeuvre ,son ultime tableau de vie .
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"Je sais pas ou nous allons...Je ne connais rien ici , plus le cheval avance , plus Naiko parle , je comprend rien , j'ai jamais compris le bas parler toute façon.."
Tout change ici la fôret est plus grande , les abres on des couleurs , c'es télement faux , Oui c'est faux c'est laid , traitre couleurs , nostalgie des beau reflet de la rivière ...
D'ici je vois une citée , Naiko me fait signe d'avancer , il arrive , il est lent toujours...Qu'est que c'est ? Undercity ? Oui ca doit etre ca ! J'arrive ! Naiko me rejoindras je veux voir !
Naiko ? ou il est ? Je le cherche il plus là , La bas ?! Oui ! Attend moi Naiko la citée est ici !
Attend reviens !
Il continue , il avance , elle doit resté là ,vivre chez la mort , la peste , la folie c'est pas pour elle...Elle hurle je comprend pas un mot..je comprend juse les sanglots dans sa voix.Je crois que c'est la première fois que je l'ettend parler depuis , Elle hurle encore , Elle hurle ...
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Premiers pas dans la citée les gens ne sont pas réaliste ils ont tous un sourire aux lèvres...Y a encore ses couleurs fausses...les gens me ressemble alors que je suis unique.
Je vais revenir...
Tu m'as juste oublier...